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Après plusieurs monologues beckettiens en compagnie de Denis Lavant, Jacques Osinski fait un nouveau pari, excitant et effrayant : Fin de partie, la grande pièce de Beckett, sa préférée. Tout à coup, il faut voir les choses en grand. Sommes-nous sur terre ? Sommes-nous sur l’arche de Noé après la fin du monde ? Peut-être est-ce déjà le purgatoire… La pièce raconte un monde qui s’écroule et donne la plus belle définition du théâtre qui soit : « Le souffle qu’on retient et puis… (il expire). Puis parler, vite, des mots, comme l’enfant solitaire qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble, et parler ensemble, dans la nuit. » Texte Samuel Beckett Mise en scène Jacques Osinski Avec Denis Lavant, Frédéric Leidgens, Peter Bonke, Claudine Delvaux Scénographie Yann Chapotel, lumière Catherine Verheyde, costumes Hélène Kritikos, régie Gildas Le Boulaire Texte publié aux Éditions de Minuit L'Aurore Boréale
Durée : 1h45 À partir de : 15 ans La salle Chapitre est en placement libre.
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